Comment travaille Florence Roullet Boyer ?
Le graphisme que pratique Florence Roullet Boyer est comme un être vivant, il s’adapte à chaque projet comme le ferait un organisme à son environnement.
D’abord, Florence écoute. C’est en comprenant et en reformulant la demande initiale qu’elle arrive à cerner les besoins de ses clients. Ensuite elle expérimente : formes, typographies, textes et images se mêlent et composent des visuels, des logotypes, des livres… Le tout dans une joyeuse créativité, avec une recherche d’équilibre, de cohérence et de lisibilité.
Après des études à l’ECV (École de communication Visuelle) j’ai intégré durant 6 ans l’Atelier Chévara (aujourd’hui Marge Design). Arrivée stagiaire je suis ressortie directrice artistique avec des milliers d’images en tête et une méthode de travail très aboutie. Je pouvais alors répondre à des demandes variées. J’ai choisi de travailler surtout le print, car j’aime animer un processus créatif qui part d’une idée pour arriver à un objet tangible. L’édition est donc mon domaine favori, j’aime voir un livre ou une collection se concrétiser sous mes doigts!
Je m’apprête à travailler pour la 10e édition du Festival Paris Face Cachée. C’est la neuvième année que j’interviens auprès de l’Autre Production, en association avec la Mairie de Paris. Durant un week-end, des lieux interdits ou inédits sont ouverts au public, avec une programmation riche en surprises et découvertes. Je réalise pour cet évènement l’affiche et le site internet. Le visuel est issu d’un artiste de street art qui prête une de ses œuvres pour l’occasion. Nous avons ainsi travailler avec Jérôme Mesnager, Jef Aérosol, Fred Le Chevalier ou C215…
Le Laboratoire existentiel est une petite maison d’édition indépendante qui a fait appel à moi pour la création de son identité visuelle.
Nous avons travaillé ensemble sur la conception du logotype, qui devait jouer sur un effet miroir et représenter le signe de l’infini… Puis nous avons mis en place 3 collections : L’illuscript qui mêle le travail d’un.e auteur.e et d’un illustrateur.trice, les Métamondes qui sont des essais, et les Instantanés où l’éditrice fabrique à la main les ouvrages.
J’ai aimé travaillé sur différentes propositions de couvertures, pour arriver à épurer au maximum le graphisme. Nous avons travaillé avec une pro de la fabrication pour donner au papier un toucher velouté.
D’abord, Florence écoute. C’est en comprenant et en reformulant la demande initiale qu’elle arrive à cerner les besoins de ses clients. Ensuite elle expérimente : formes, typographies, textes et images se mêlent et composent des visuels, des logotypes, des livres… Le tout dans une joyeuse créativité, avec une recherche d’équilibre, de cohérence et de lisibilité.
Quelques mots sur le parcours
Après des études à l’ECV (École de communication Visuelle) j’ai intégré durant 6 ans l’Atelier Chévara (aujourd’hui Marge Design). Arrivée stagiaire je suis ressortie directrice artistique avec des milliers d’images en tête et une méthode de travail très aboutie. Je pouvais alors répondre à des demandes variées. J’ai choisi de travailler surtout le print, car j’aime animer un processus créatif qui part d’une idée pour arriver à un objet tangible. L’édition est donc mon domaine favori, j’aime voir un livre ou une collection se concrétiser sous mes doigts!
LES projets DU moment
Je m’apprête à travailler pour la 10e édition du Festival Paris Face Cachée. C’est la neuvième année que j’interviens auprès de l’Autre Production, en association avec la Mairie de Paris. Durant un week-end, des lieux interdits ou inédits sont ouverts au public, avec une programmation riche en surprises et découvertes. Je réalise pour cet évènement l’affiche et le site internet. Le visuel est issu d’un artiste de street art qui prête une de ses œuvres pour l’occasion. Nous avons ainsi travailler avec Jérôme Mesnager, Jef Aérosol, Fred Le Chevalier ou C215…
Une réalisation dont je suis fière
Le Laboratoire existentiel est une petite maison d’édition indépendante qui a fait appel à moi pour la création de son identité visuelle.
Nous avons travaillé ensemble sur la conception du logotype, qui devait jouer sur un effet miroir et représenter le signe de l’infini… Puis nous avons mis en place 3 collections : L’illuscript qui mêle le travail d’un.e auteur.e et d’un illustrateur.trice, les Métamondes qui sont des essais, et les Instantanés où l’éditrice fabrique à la main les ouvrages.
J’ai aimé travaillé sur différentes propositions de couvertures, pour arriver à épurer au maximum le graphisme. Nous avons travaillé avec une pro de la fabrication pour donner au papier un toucher velouté.
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